Omeega . STANLEY ▪▪ 1oo%

P R E S S . P E O P L E

Caractère : Déterminée... Si je tente ce titre, ce n'est pas pour rien ! J'ai toujours voulu faire honneur à ma famille, qui m'a si bien élevée, et qui a toujours eu confiance en moi. Moi aussi, je suis quelqu'un de confiance. Un secret est toujours bien gardé une fois qu'il m'est dévoilé. Je suis toujours gentille, très peu rancunière. J'espère que le fait de vivre dans cette maison ne me changera pas, je veux que mes parents et mon frère soient fiers de moi, quoique je fasse, et j'espère que tout ce que je ferait sera bien.
Attachante... Beaucoup de personnes, malgré pas mal d'erreurs, m'apprécient pour ce que je suis, et m'acceptent ainsi, je l'espère pour toujours.
Optimiste... Malgré que je souhaite ce titre pour beaucoup de raisons, je resterai joyeuse quelque soit le résultat, car cette expérience m'aura beaucoup servi.

Description Physique : Avez-vous déjà rencontré une magnifique blondinette aux yeux violets-bleus, d'une taille de guèpe, d'une beauté dite "presque parfaite" tellement ses traits sont doux, agréables à regarder ? Sa démarche sur le podium est fluide, il faut dire qu'elle fait du mannequina depuis sa plus tendre enfance, ayant posé pour plusieurs grandes marques de vêtements pour enfants...

Signes Particuliers :

Biographie :

JOYEUSE SAINT VALENTIN !
14 février 1991, naissance d'une magnifique petite fille. Hopital Blanc. Tout est calme, sauf le cri de la belle Omeega. Déjà à l'époque, elle avait un bel avenir. Mère photographe, Père à la direction d'une très grande maison d'édition. Naissance parfaite près d'un frère de 2 ans son ainé. Un véritable model pour elle. Elle écarquille grands ses yeux, ses uniques et magnifiques prunelles pour mieux l'observer. Elle ne lui ressemble pas du tout, de physique du moins. Elle, avec ses incroyables cheveux blonds et lui ses beaux cheveux noirs. Deux enfants si différents mais pourtant si proche. Les deux inséparables. Pacte qu'ils ne se quitteront jamais, sauf à la mort... Mais... Quelque chose viendra rompre ce lien, et Omeega en voudra longtemps à ce grand frère, ce traite qui aura tout gaché, tout cela pour un fille. Pendant 2 ans, elle ne lui parlera pas, malgré beacoup d'efforts de la part de celui-ci pour arranger les choses. Mais elle n'arrètera cette guerre que lorsqu'elle connaitra l'amour. Pendant 3 ans, elle vivra heureuse avec un garçon, Jeff. Mais son travail de mannequin et la jalousie de son ex petit-ami tuera ce bel amour. Après cette histoire, Omeega ne cherchera pas forcément de petit-copain, de peur que ce qui s'est passé recommence. Et puis maintenant qu'elle travaille à temps complet dans le mannequina, elle trouvera bien quelqu'un qui aura le courage de s'adapter à son emploi du temps, quelqu'un qui connaitra les contraintes, autant que les qualités, de ce métier.

Relations : -

. Minuit. Il n'est toujours pas là. C'est la première fois que j'ai à l'attendre ainsi, à surveiller la porte pour entendre le moindre bruit qui me signalerait son arrivée. Je me demandai ce que cela faisait de détester quelqu'un de sa famille, et bien maintenant je sais. Car en ce moment même, je déteste mon frère plus que n'importe qui d'autre. Il me fait patienter, m'inquiéter. Je ne sais pas où il est. Il m'a dit qu'il devait faire une course. Comme nous sommes en période de Noël, je ne me suis pas posée de question, mais à cette heure là ce n'est pas normal... Que fait-il ? Pourquoi ne répond il pas à son portable ?

. Deux-heures du matin. Je n'ai toujours pas fermé l'oeil. J'entends un léger crissement de pneus au dehors. Enfin ! Je perçois peu à peu le bruit de ses pas feutrés dans les gravillons, veillant à ne pas me réveiller, ce qui ne risque pas d'arriver ! La porte en verre tintée s'ouvre délicatement. A peine a-t-il franchi le seuil de la maison que je lui saute dessus. Les parents étant partis en week-end, je n'ai pas peur de crier.
«Mais enfin tu étais où ? ça fait quatre ou cinq heures que j'attends que tu rentres, autant de temps que je suis figée ici, à fixer cette maudite porte, réagissant au moindre bruit. J'ai même sursauté quand Rubis est venu se frotter à moi pour me demander à manger !»